La séance de travail de la pelleteuse a débuté par le raclage d'un maximum de pierres roulantes.
Pour rappel: le débanchage comme pratiqué par nos aieux est interdit; seul la collecte de pierres est toléré.
Puis celles-ci ont été rapprochées au ras des fondations du mur. Double intérêt: pas de travail manuel long et fastidieux de fouille à la pioche, et, les pierres sont au plus près du mur, bien éparpillées.
L'engin, en partant du mur de La Chiouse, a dégagé tous les restes du mur tombé dans les années 1940. Les marées successives vont laver cet amas. Il n'y aura qu'à trier et bâtir.
Des intervenants extèrieurs des entreprises HYAKA et FAUQUONT, seront présents dès le début de reprise des travaux le 16 avril. On ne peut que se féliciter de leur aide, oh combien précieuse.
Travail d'une précision chirurgicale! En effet, il ne faut pas toucher aux fondations multi centenaires.
Les fondations sont visibles à gauche de la photo.
La suite du reportage dans notre prochaine édition. J-L.G.