Le petit pêcheur et la baleine

Le peuple inuit, appelé aussi « Eskimo ou Esquimau », est issu d’Amérique du Nord. Ce conte est raconté par des hommes du nord. C’est l’histoire d’un jeune pêcheur qui, grâce à un bienfait, voit sa vie changer.

Le jeune homme n’avait pas eu beaucoup de chance ce jour-là : il était revenu bredouille de sa pêche. C’est alors qu’il vit un gros rocher sur le rivage, qu’il n’avait jamais remarqué jusque-là. Il s’avança et découvrit que c’était une baleine. Il décida d’aller chercher son harpon et d’accomplir l’exploit que personne n’avait réalisé jusqu’à ce jour : tuer une baleine.

Mais quand il revint, la baleine se réveilla, l’implora de ne pas la tuer et lui dit qu’il en serait récompensé par la richesse. Le jeune pêcheur accepta et retourna à son bateau en se demandant s’il n’avait pas fait une erreur. Il se garda bien de le dire aux autres pour éviter les moqueries.

Dès lors, le pêcheur ne revint plus jamais bredouille. Peu importe le temps et l’endroit, il revenait toujours avec un bateau rempli de poissons. Il comprit alors que la baleine avait respecté sa promesse mais il s’abstint de le dire jusqu’à la fin de ses jours.

 L’une des morales du conte est qu’il faut savoir résister à certaines tentations pour saisir sa chance.

 

En raison des restrictions de circulation et des mesures sanitaires, les journées "Trou d'Cheu sont

annulées et reportées à des dates ultérieures. 

 

 La "Bestiole" est là! Ce n'est pas un chancre, un dormeur, une étrille. Soyez prudents, prenez soin de vous.

On se revoit après et....promis, on fera la fête sur l'écluse! 

Jean-Louis GIRAUDEAU

 

Les tempêtes se succèdent, plus ou moins ventées et houleuses. 

Notre patrimoine marin, comme terrestre, résiste plutôt bien.

Seule écluse impactée, La Chiouse, continue à panser ses blessures. 

De Rivedoux aux Portes, tous les terrains regorgent d'eau.

Les floraisons de mimosas, de jonquilles et autres fleurs de début de printemps, ne sont qu'un vague souvenir.

Les fruitiers bourgeonnent... Les crevettes n'ont pas quitté nos côtes, les sardines sont encore là, les poissons de Méditerranée viennent nous rendre visite...

Ah! Le déréglement climatique! Ce ne sont pas que deux mots juxtaposés! 

 

Billet d'humeur                                                                                                                                J.L.G.

 

 

 

 

 

 

Il y a fort longtemps à l'époque où les vikings venaient nous rendre visite, un seigneur courageux décida avec ses guerriers, de les combattre et d'aller aux devants d'eux. Sa fille, charmante et intelligente étaitpromise à un jeune de ses lieutenants .

 

Le père , le fiancé et les hommes partirent pour un long périple afin de stopper les vikings. Alors qu'ils étaient loin, la terre se mit à trembler et de grandes falaises qui dominaient la cote , s'abattirent dans la mer . Les villages étaient presque tous détruits. Il s'en suivit un petit tsunami. Dès lors la plage d'où partirent les navires n'était plus qu'un récif fort dangereux, jonché de rochers .Il était devenu impossible à toute embarcation de débarquer à cet endroit. La jeune fille comprenant le grand danger que courait son père et son équipage, eut l'idée de dresser sur un gros rocher avancé dans la mer, une très haute tour en bois afin de voir au loin venir les bateaux mais aussi de les prévenir en agitant des torches de feu.

Un soir le danger apparut au loin. Les vikings avec 30 bateaux arrivaient. C'était une nuit d'orage. La jeune demoiselle eut une terrible idée : attirer l'ennemi dans son piège. Elle fit émettre des signaux avec des torches . Les viking voyant au loin les lumières ,se méprirent croyant qu'il s'agissait d'un signal pour accoster. Ils s'écrasèrent sur les récifs corps et biens. Rien ne survécu.

Les villages étaient sauvés. Mais lorsque les bateaux du père et du fiancé revinrent ,on voulut les prevenir. Alors dans la nuit sombre où la lune s'était cachée plongeant la côte et le mer dans l'obscurité, on enflamma la tour en bois ainsi que les embarcations des pêcheurs afin que les bateaux amis prévenus, se maintiennent au loin. Ainsi fut fait nos braves guerriers alertés contournèrent la cote et débarquèrent plus tard dans une crique sans prendre aucun risque.

Depuis on garda l'idée de la jeune fille et on dressa des phares pour prévenir.